Me voilà à Exa-arma à cause de ce bon vieux Phéles qui veut absolument que je me repose car il dit que je travaille trop et que je ne prends pas assez de temps pour m’occuper de moi. Franchement, je n’ai vraiment rien à faire ici mais il m’a obligé ici pour me changer les idées et maintenant, me voilà en train de faire les vitrines des magasins. Le pire, c’est que je n’ai besoin de rien dans cet endroit. Enfin, maintenant que j’y suis, je vais aller boire un café. Ça fait longtemps que je n’en ai pas bu un bien frais du matin. Une fois au café, j’entrais dedans. Je pris une table et j’attendais que la serveuse vienne m’accoster pour demander ma commande. Je demandais juste un café bien noir sans sucre. A l’endroit où j’étais assis, il y avait un journal certainement laissé par un prédécesseur qui s’était assis à cette place. Je le pris et je commençais à le feuilleter pour attendre mon café. Je lisais les grandes lignes de celui-ci.

Un article me frappait, c’était celui qui parlait d’une église qui était hanté par un esprit. Je commençais donc à le lire. On racontait qu’il y avait déjà plusieurs personnes qui s’étaient fait attaquer et donc on avait fermé les lieux attendant l’exorciste qui devait s’en charger. Le nom de celui-ci n’était pas indiqué dans l’article. Je me demandais alors qui on avait bien pu envoyer là-bas pour se charger de ce monstre. Je continuais à lire jusqu’à ce que la serveuse revienne avec mon café. Je le bus petit à petit vu qu’il était extrêmement chaud. Une fois que je l’avais fini, je repartais après avoir payé ce que je devais. Je me dirigeais alors vers les magasins d’armes, c’était encore le seule lieu qui m’intéressait.

Je me dirigeais donc vers ce lieu où tout guerrier devrait normalement trouver leur bonheur. Des armes à feu aux armes blanches en passant par les armes
secondaires et souvent bien moins utilisées. J’étais arrivé dans cette rue et
je commençais à marcher doucement. J’observais toutes armes susceptibles d’être intéressante pour notre académie car en ce qui me concerne, je n’en avais pas besoin. Mon arme était déjà adaptée pour moi par Vorpalin et je l’en remerciais grandement, ça m’évitais de dépenser de l’argent dans ce matériel mais pour les élèves de l’école, il faut bien qu’il trouve leur bonheur quand ils prennent une arme. Je cherchais alors un magasin d’armes blanches pour les chevaliers. J’entrais donc les lieux et je me fis directement accoster par le marchand.

Bonjour
monsieur que cherchez-vous comme arme ? Un katana capable de tout trancher ou une épée capable d’exploser tout les cranes qu’elle rencontrera ou bien encore une arme discrète telle que cette petite dague que vous pourrez transporter n’importe où en toute discrétion.

Je me retournais alors vers le type avec un regard qui le refroidit directement et il comprit en même temps que je m’y connaissais bien assez en arme pour savoir ce qui serait bien ou pas. L’homme repartit alors derrière son comptoir et me laissa tranquille dans mes recherches qui après quelques minutes ne menaient nulle part je ressortis donc de là sans rien pour l’académie. Je continuais de marcher dans cette rue et un moment, une vitrine me tapait à l’œil, en fait ce magasin vendait des armes ou des répliques d’armes des plus grands chevaliers ayant vécu et accomplit de grands exploits. C’était assez rare de voir des choses comme celle-ci mais hélas, elle ne valait pas les originaux. Les matériaux étaient totalement différents et la solidité ne valait rien par rapport aux vraies. Je restais quand même devant un petit moment. Puis au moment de partir, je me retournais et je vis Kurenai qui se dirigeait vers. C’était avec cette fille que j’ai dû m’occuper des monstres qui avaient pris logement dans une petite ville en France. Ça m’étonnait de la voir dans un endroit pareil. J’attendais donc qu’elle vienne vers moi et une fois qu’elle fut à ma hauteur je l’accostais.

Bien le bonjour Kurenai, comment ça va depuis notre dernière mission ? Je suis bien étonné de te voir dans telle lieu toi qui préfère la solitude aux endroits pleins comme ici.

en cour